Je m’appelle Patricia, j’ai 28 ans, je vis à Lille et je suis mariée depuis 10 ans. Au début, j’étais heureuse parce que je me suis mariée avec mon premier amour. Inutile de vous cacher, c’est aussi lui qui m’a dépucelé. Lors de ma nuit de noces, je m’attendais à une explosion d’orgasme, mais non, c’était une partie de jambes en l’air très courte. 30 secondes de préliminaires, si on peut appeler ça des préliminaires et après, c’était de l’égoïsme total. Il savait que j’étais encore vierge, mais excité, il n’a pas pris le temps de prendre soin de mon minou, il l’a pénétré directement, sans aucune délicatesse. J’ai senti une déchirure, une douleur intense envahir le bas de mon ventre, j’ai voulu arrêter, mais monsieur était couché sur moi, très occupé à me pomper. Certes, au bout de quelques minutes, la douleur a laissé place à une délicieuse sensation, mais ce fut très courte.
Table des matières
Ma désastreuse vie de couple
Depuis 10 ans, la vie que je menais en tant que femme mariée était remplie de monotonie. Je me lève le matin, je me rends au travail puis à la fin de la journée, je rentre. Dès fois, mon mari me touche, me fait l’amour, mais il n’y a plus grand-chose. Une fois qu’il a joui, il se retourne et s’endors. J’étais en quelque sorte son plan cul du soir quoi. Ça a toujours été comme ça depuis ces dernières années. Je me demande parfois comment a-t-il fait pour me convaincre de me marier avec lui il y a 10 ans. Heureusement que j’ai une vie professionnelle réussie parce que sinon, je me serai déjà tranché les veines. Au boulot, quand j’entends mes copines parler de leurs vies sexuelles, de leur rencontre coquine, je me sentais comme un extra terrestre. Sexuellement parlant, elles étaient comblées et ça se voyait sur leurs visages.
Cette monotonie est l’une des raisons pour laquelle je me refuse à mon mari, mais il ne le sait pas encore. En guise d’excuse, je lui disais que c’est le stress du boulot, que je suis fatiguée et que j’ai besoin de dormir. En tant que bon mari, il m’a proposé que je devais me faire masser par des professionnels pour éliminer mes stress. Une idée que je trouvais un peu loufoque au début, mais pour éviter de rester à la maison le week-end, j’ai quand même dit oui.
Le salon de massage
À une demi-heure de chez moi, il y avait un institut de massage, parfait pour tuer le temps. Je me suis rendu dans ce salon et à première vue, il n’y avait vraiment rien de très impressionnant. La vue des dizaines de femmes dans la salle d’attente m’a même rendue encore plus stressée. Je me suis dirigée vers l’accueil et j’ai demandé à la réceptionniste quel genre de massage je devais demander pour éliminer mes stress. Elle m’a répondu avec des termes un peu nouveaux alors j’en ai choisi un au pif. Devinez, quel type de massage j’ai choisi : le body-body. Je ne savais pas encore ce qui m’attendait, mais j’ai pris ma place auprès des femmes pour attendre mon tour.
Après quelques minutes d’attente, une jolie jeune fille est venue vers moi pour me dire que c’était mon tour. Elle m’a emmené dans une cabine et m’a demandé que je devais me déshabiller et prendre une douche. J’ai pris ma douche, j’ai remis mes sous-vêtements et je me suis couchée sur la table de massage. Il y avait une serviette alors je me suis couverte avec. L’ambiance de la cabine était vraiment bizarre, la lumière était basse et ça sentait la rose. J’aurai aimé passer ma nuit de noces dans une chambre de ce genre.
Le body-body
Après quelques minutes d’attente, on a frappé à la porte. Avant même que j’aie eu le temps de dire entrer, un jeune home est entré. Je ne m’attendais pas à voir un homme alors je lui ai demandé si c’est lui qui va me masser. Très poli, il m’a répondu : « oui madame, je vais prendre soin de vous ». Il s’est approché de la table et s’est débarrassé de ma serviette. Tout en souriant, il m’a demandé s’il pouvait retirer mes sous-vêtements pour qu’il puisse m’enduire d’huile. Je ne me suis jamais retrouvée nue avec un autre homme que mon mari auparavant alors j’ai un peu hésité. Après mure réflexion, pourquoi pas, si ça peut m’aider à enlever le bâton coincé dans mon cul, je vais le faire. J’ai pris une grande respiration et je lui ai dit qu’il peut le faire. Il a commencé par retirer mon slip de grand-mère puis il m’a relevé pour dégrafer mon soutif. Je me suis recouchée et j’ai fermé les yeux pour ne pas croiser son regard, tellement j’étais embarrassée.
Le jeune homme a commencé par verser de l’huile petit à petit sur mon corps. Après m’avoir enduit d’huile parfumée, il s’est retiré un peu. Quand il est revenu, il ne portait plus de haut et il s’était aussi enduit d’huile. C’est là que j’ai compris qu’il allait me masser avec son corps, d’où le nom de body-body. Il s’est penché sur moi en murmurant :
« Vous êtes prête ? »
Je ne pouvais plus faire marche arrière alors j’ai hoché la tête timidement pour lui donner le feu vert. Avant de monter sur moi, il s’est débarrassé de son short, il ne portait plus qu’un petit slip qui laissait apparaître un petit bout de son sexe. J’étais dans une position très gênante, mais ne sachant plus quoi faire, je l’ai laissé faire son travail.
- il s’est couché sur moi
- il a frotté son corps contre le mien
Jamais de la vie, je n’ai ressenti une sensation aussi forte. À chaque fois qu’il descendait, il faisait exprès de toucher mon minou avec son genou, au final, j’ai fini par avoir la ***** très mouillée. J’ai tenté de la cacher, mais le masseur l’a remarqué alors il m’a demandé :
« Vous voulez encore plus ? »
Je n’ai même pas eu le temps de répondre qu’il est déjà redescendu et m’a écarté les cuisses. Il a directement attaqué en mordillant mon clitoris. Comparé à ce que j’ai ressenti en ce moment-là, ce que mon mari me faisait à la maison était de la pure merde, désolée pour l’expression. J’étais très excitée, tout ce que je voulais c’est qu’il me face l’amour avec cette ***** qui commençait à sortir de son slip. Il a vu que j’étais déjà très humide alors il est remonté, il a écarté son slip et il m’a pénétré tout en douceur. J’avais tellement peur que quelqu’un puisse nous surprendre alors tout en couinant, j’ai constamment fixé la porte. Après m’avoir pris en missionnaire, il s’est relevé, s’est essuyé avec la serviette puis m’a pris en levrette. En matière de *****, mon mari était plus équipé, la différence c’est que le masseur savait très bien se servir de la sienne. Je suis restée environ une heure dans la cabine et j’ai eu deux orgasmes successifs. Depuis ce jour, l’institut de massage est devenu une habitude pour moi. C’était l’endroit idéal pour faire une rencontre coquine. A chaque fois, il y avait un nouveau masseur, ce qui veut dire un plan cul de plus à ajouter à mes trophées.
4 commentaires
Et sur Aix en provence n’y a t’il pas ce genre d’endroit ?
j aime en levrette dans les bois
j aime sucer une chatte avec des poils… jusqu’à jouissance..
qu une femme me jouisse dans la bouche longtemps